Après une année passée à lutter contre la pandémie de la Covid-19, certains chefs d’État se sont démarqués par leur capacité à gérer cette situation. En seulement quelques mois, le Président américain Joe Biden a su s’imposer comme un défenseur de son pays face au virus. En dépassant les objectifs ambitieux qu’il s’était fixés en termes de vaccination et en enregistrant une régression du nombre de personnes infectées par le Sars-Cov-2, le démocrate a fait la preuve de sa capacité à sortir efficacement le pays de la crise.
Après une année passée à lutter contre la pandémie de la Covid-19, certains chefs d’État se sont démarqués par leur capacité à gérer cette situation. En seulement quelques mois, le Président américain Joe Biden a su s’imposer comme un défenseur de son pays face au virus. En dépassant les objectifs ambitieux qu’il s’était fixés en termes de vaccination et en enregistrant une régression du nombre de personnes infectées par le Sars-Cov-2, le démocrate a fait la preuve de sa capacité à sortir efficacement le pays de la crise.
Deux ans après son élection à la présidence de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a marqué un tournant en dénonçant l’accord pris avec le FCC, le parti de son prédécesseur. En dépit des difficultés liées à la pandémie mondiale, le Chef de l’État entend continuer les réformes, pour le bien des Congolais et afin de redonner toute la place qu’il mérite à son pays. Il nous précise la teneur de sa pensée, dans cette interview exclusive réalisée début janvier à Kinshasa.
Sommes-nous à la croisée des chemins ? La pandémie qui bouleverse le monde depuis un an pousse à une accélération de la réflexion concernant nos modes de vie, nos priorités, l’état de notre planète… et pourrait modifier en profondeur les relations ― commerciales, diplomatiques, coopératives ― inter-États. Notamment, une mutation des échanges entre pays du Nord et pays du Sud se profile.
Un an après l’éclosion de la Covid-19 dans la province de Wuhan, la Chine semble avoir brillamment relevé le défi du son contrôle. Alors que l’Europe et les États-Unis sont focalisés sur la gestion de la pandémie sur leur territoire, Xi Jinping, nouveau leader post-Covid, se tourne vers le continent africain et l’Amérique latine pour écouler ses vaccins, accroître son influence et promouvoir l’image de la Chine à travers le monde.
Dans cet entretien exclusif, le Chef de l’État colombien présente les mesures économiques et sociales engagées pour faire face à la crise sanitaire. Sans langue de bois, il exprime également son avis sur la géopolitique mondiale.
2020 restera dans les annales comme l’année du début de la pandémie de Covid-19. Face à l’urgence sanitaire et aux difficultés économiques et sociales, tous les chefs d’État du globe, qu’ils soient de l’hémisphère Nord ou Sud, ont dû faire preuve de réactivité et ont pris des mesures aux conséquences plus ou moins bénéfiques. En voici quelques exemples.
Le Kazakhstan n’a pas été épargné par la crise sanitaire, mais les mesures économiques et sociales engagées ont permis de surmonter les difficultés. Le Chef de l’État nous dévoile les grands axes de sa stratégie.
« Macron l’Européen ». C’est ainsi que le Président français est parfois surnommé dans la presse. En effet, depuis sa campagne électorale de 2017, Emmanuel Macron ne cesse de plaider pour une Europe plus forte et plus unie, ayant même fait de ce projet un des axes de son programme. Deux jours après son élection, à l’occasion de la Journée de l’Europe, il tweetait pour faire part de son ambition de remettre celle-ci « en marche ».
Sitôt installé à la Maison-Blanche, Joe Biden s’est retrouvé confronté à un chantier titanesque : endiguer au plus vite la vague meurtrière de Covid-19 qui a fait des États-Unis le pays le plus frappé de la planète. Héritier de la gestion sanitaire chaotique de Donald Trump, Biden a fait de la lutte contre la pandémie la priorité de son début de mandat.